Venir dans le temple de la consommation pour…. s’initier à la respiration consciente et venir échanger sur cette pratique en plein essor. Moi je dis : OUI !
Bravo et merci aux Galeries Lafayette et à Petit Bambou d’avoir osé ce contre-pied!
Une occasion unique d’aller à la rencontre d’un public qui ne serait peut être jamais venu dans une salle de méditation !
Spontanément, allez savoir pourquoi ? j’ai repensé à ce billet d’humeur de Nicole Ferroni. Allez , on le réecoute pour le fun !
« A wondering mind is an unhappy mind »
(un esprit distrait n’est pas un esprit heureux )
Selon une étude récente réalisée à l’université de Harvard, le vagabondage mental serait une entrave au bonheur …
Notre attention est certainement une de nos plus grandes ressources. Et pourtant, nous la malmenons et de plus en plus. L’ « hyper-connexion » nous rendant connectés 24 heures sur 24 est la source croissante de notre inattention, impactant de façon considérable notre présence à la vie… et donc notre bien être. Continuer la lecture de Notre esprit vagabonde la moitié du temps – Etude Harvard→
Qu’est ce qui maintient les gens en forme et heureux ?
L’étude d’Harvard sur le développement de l’adulte est la plus longue étude jamais réalisée sur l’épanouissement humain.
Elle a démarrée il y a 76 ans et se poursuit encore aujourd’hui .
Depuis 1938, 724 hommes ont été observés, questionnés, année après année, sur leur travail, leur vie familiale et sociale, leur santé.
2 groupes bien distincts formaient le panel de cette enquête. Le premier était composé d’hommes entrant dans leur 2eme année d’université à Harvard . Le deuxième était composé d’habitants du quartier le plus pauvre de Boston.
60 d’entre eux sont encore en vie aujourd’hui et la plupart ont plus de 90 ans et la vie de leurs enfants, près de 2000 personnes, est désormais étudiée .
Cette étude au long cours a mobilisé plusieurs générations de chercheurs , tous issus du Laboratory of adults au Massachusetts General Hospital.
Le psychiatre Robert Waldinger qui s’exprime dans le TEDx ci dessous est le 4eme directeur de recherches .
Les sessions MBSR-la réduction du stress par la pleine conscience-Protocole Jon Kabat Zinn
Centre Qee de Boulogne-Billancourt
Le dimanche soir de 18 h à 20h30
Planning détaillé de la prochaine session
Dimanche 6 janvier 18h -20h30
Dimanche 13 janvier 18h -20h 30
Dimanche 20 janvier 18 h – 20h 30
Dimanche 27 janvier 18 h – 20h 30
Dimanche 3 février 18 h – 20h 30
Dimanche 10 février 18 h – 20h 30 Dimanche 17 février / séance d’intégration / 14 h à 20 h
Dimanche 24 février 18h -20h30
Dimanche 3 mars 18h -20h30
Cette session du dimanche étant limitée à 18 participants, il est possible qu’une autre session ouvre la veille, le samedi, même heure ( si toutefois le nombre d’inscrits le permet . Le planning détaillé des séances du samedi seront communiquées dès l’ouverture de la session …. A suivre… )
Une réunion « initiation et découverte » a lieu tous les derniers dimanches du mois à Qee/ Boulogne Plus d’infos
Lieu du stage:
Centre Qee
3, rue de Vanves
92100 Boulogne Billancourt
Métro : Marcel Sembat ou
Porte de Saint Cloud
code porte : pas de code
Pour s’inscrire au programme :
Vous pouvez me joindre par mail :
*Un entretien téléphonique préalable est nécessaire pour valider l’inscription.
*Le matériel nécessaire à la pratique (coussins, couvertures, tapis de sol) est fourni sur place. Les personnes qui le souhaitent peuvent apporter leurs coussins ou sièges de méditation…
*Aucune tenue spécifique n’est demandée. Il est recommandé de porter des vêtements souples et confortables afin d’effectuer les exercices de yoga inclus dans le programme.
* Le groupe est limité à 18 personnes
Tarif du stage de 8 semaines de MBSR-Mindfulness :
450 euros tout inclus ( les 8 séances + la séance d’intégration de 6 h + matériel pédagogique ) à régler directement au centre Qee (Possibilité de régler en 3 chèques séparés )
« Parce que nous possédons tous une sagesse fondamentale, nous pouvons cesser de nuire à nous- même et aux autres. Grâce à l’attention, nous pouvons voir les choses au moment où elles surgissent. Quand nous comprenons le processus, nous ne nous laissons plus avoir par la réaction en chaîne qui transforme des choses minuscules en monstruosité. Nous laissons les choses être minuscules. Elles restent toutes petites. Elles ne prennent pas une ampleur qui les transforme en 3eme guerre mondiale ou en violence domestique. Tout cela est possible parce qu’on a appris à s’arrêter ne serait-ce qu’un instant, à ne pas répéter compulsivement la même chose, encore et toujours. Simplement faire une pause plutôt que de remplir l’espace aussitôt est une expérience transformatrice »
Pema Chodron
Telle une abeille dans un parterre de fleurs, l’esprit humain butine naturellement d’une pensée à l’autre. Dans un monde professionnel où tout va très vite, où les informations pleuvent et les délais courent à toute allure, nous sommes tous mis en demeure de penser vite . Plus que la réflexion, c’est la réaction qui est à l’ordre du jour. Pour rentabiliser notre temps au maximun et éviter l’ennui, nous remplissons chaque moment disponible par de la stimulation mentale- à quand remonte la dernière fois où vous vous êtes assis(e) sur une chaise et avez fermé les yeux, juste pour vous détendre ?
Le fait de garder l’esprit occupé équivaut à un gaspillage de nos plus précieuses ressources. C’est vrai, notre cerveau peut faire des merveilles à grande vitesse. Mais il en accomplira tellement plus si on lui donne de temps à autre le loisir de se détendre. Apaiser radicalement notre esprit peut améliorer notre esprit, notre calme intérieur, augmenter notre concentration et notre capacité à penser de façon plus créative. Cela peut nous apporter ce que Milan Kundera appelle une « sagesse de la lenteur ». Continuer la lecture de Méditation et intelligence créative→
Selon des analyses effectuées par des chercheurs des universités de Virginia et de Harvard, la plupart des participants, sur onze analyses, ont éprouvé un malaise à être laissés seuls dans une pièce pendant 6 à 15 minutes, privés de musique, de lecture, de possibilité d’écrire ou d’avoir accès à leur smartphone, uniquement livrés à leur pensée.
Les chercheurs ont poussé l’expérience plus loin pour voir si les participants préféraient faire quelque chose de désagréable – comme recevoir une décharge électrique par exemple- plutôt que de rester seuls dans le silence. Tous avaient subi en amont un choc électrique pour qu’ils sachent exactement le mal que cela leur ferait. Et c’était douloureux. Malgré cela, la moitié des participants a appuyé sur le bouton qui envoyait une décharge électrique, pour faire passer le temps plus vite. …/…
Ce qui est frappant, écrivent les chercheurs, c’est qu’être seul avec ses pensées pendant un quart d’heure était apparemment si insupportable que cela avait poussé de nombreux participants à se faire envoyer une décharge électrique . Dans sa frénésie d’échapper à l ‘ennui, un participant a appuyé pas moins de 190 fois sur le bouton qui déclenchait la décharge électrique.